Il faut sans cesse surveiller la route qui a de vieux restes de la dernière guerre avec des trous d'obus de 45. Les routes sont bordées par des forêts qui cachent la vue ou par des champs à perte de vue. J'ai quand même vu un tracteur très rustique avec son préparateur de sol de 25m de large (voir photos)
Arrivée à Vladivostok, énorme ville soviétique. J'ai rencontré le transitaire pour le transport de mon Doudou, lequel transitaire russe a plumé le coq Français :
Un port mythique du bout du monde à l'est de l'Asie (comme Brest à l'ouest de l'Europe). Les tractations commencent avec l'aide de l'alliance Française, une aide précieuse avec un Russe qui ne veut rien comprendre à mon anglais et pas de connexions possibles avec la France. Ayant 8h de décalage ils se lèvent à Paris lorsqu'ils se couchent à Vladivostok, compliqué... Un peu de chance m'accompagne (à défaut de ma compagne) car à partir de samedi tout sera fermé pour 8 jours (pour congé). Ouf ma voiture est dans le container et moi dans un avion pour Séoul. Merci Jeanne et Marie Hélène.
Mais à Séoul (voir photos) 23h d'attente dans un aéroport d'un luxe incroyable (rien à voir avec Orly, Perpignan ou Notre Dame des Glandes) et maintenant plus que 13h de vol avec une seule idée en tête, c'est de repartir pour retrouver mon doudou.